FAQ

Comment résoudre un problème, comment trouver la solution ou les solutions à un problème ?

Chacun est une partie de la solution. Face à un problème nouveau, la solution ne vient pas forcément d’en haut. Personne ne trouve la bonne réponse mais le groupe la trouve.

L’intérêt est d’activer des parcelles de génies individuels parmi chacun pour générer un génie collectif. L’intelligence collective vient d’en haut et d’en bas, elle se rencontre se croise et se mélange.

Tout le monde est doté d’une grande intelligence collective, la question est comment la mettre en œuvre. La méthode LEGO® SERIOUS PLAY® permet de rassembler toutes les ressources de l’entreprise, les experts dans leurs domaines, les savoirs faire et créer les conditions nécessaires pour représenter et construire en 3D le problème et la solution.

La méthode LEGO® SERIOUS PLAY® permet de mobiliser toutes les intelligences en même temps (intelligence logicomathématique, spatiale, kinesthésique, interpersonnelle et émotionnelle). En entreprise on utilise à l’excès l’intelligence logicomathématique et très peu nos autres intelligences.

L’ensemble de l’équipe de direction (PDG, chercheur, scientifique, comptable, commerciaux…) est réuni en atelier, allant de 3 à 4h et va modéliser collectivement et en 3D le problème et la solution. Tout le monde est réuni car tout le monde a son mot à dire et tout le monde a une pièce à apporter à l’édifice, un bloc, une brique.

SERIOUS : On oublie que c’est du jeu. C’est une maquette en 3D, pratique pour définir un service ou une organisation : qui fait quoi ? qu’est ce qui ne va pas ? comment ça marche ? comment on peut améliorer ?

Expérimenter une approche qui fera émerger des réponses différentes mais toutes valables, pour parvenir ensuite à une réponse collective. La méthode LEGO® SERIOUS PLAY® fonctionne bien lorsqu’il n’y a pas de solution évidente, pas une seule réponse, pas de réponse toute faite. L’utilisation de la méthode LEGO® SERIOUS PLAY® pour réfléchir, communiquer et résoudre des problèmes produira toujours un haut niveau d’engagement, de participation dans le plaisir.

La méthode LSP est efficace pour tirer le meilleur des connaissances d’un individu ou d’une équipe.

La méthode puise dans cette capacité à imaginer, décrire, donner du sens à une situation qui est à « portée de main », pour initier un changement et l’améliorer, voire même créer quelques chose de radicalement nouveau.

La méthode LSP part du principe que chacun apporte son unicité et sa valeur dans les échanges, les décisions et les résultats. Cette méthodologie libère l’intuition et facilite la pensée créatrice, aussi bien chez l’individu qu’au sein d’une équipe. Les participants gagnent en clarté et en compréhension sur l’identité et la dynamique de leur organisation. Ils deviennent légitimes pour prendre des décisions efficaces, et le font alors avec assurance et détermination.

Cette méthode s’adresse au manager courageux qui sait être à l’écoute et à la disposition de son équipe avant tout. Il sait motiver, féliciter et mettre en avant son équipe et sait que le succès de son équipe ne lui appartient pas.

La méthode LSP est une technique facilitant la réflexion, la communication et la résolution de problèmes, utilisable à l’échelle des organisations, des équipes et des individus. Elle tire ses racines de recherches menées en profondeur dans le domaine de l’entreprise, du développement des organisations, de la psychologie et des apprentissages.  Elle se base sur le concept de la « construction du savoir par les mains ».

La méthode LSP se fonde sur un ensemble de convictions fondamentales concernant le leadership et les organisations :

• Les leaders n’ont pas toutes les réponses ; leur réussite dépend de leur capacité à écouter tous les participants.
• Les personnes ont envie, naturellement, de participer à un projet, de faire partie de quelques chose de plus grand qu’eux et d’y prendre part.
• Le modèle économique le plus durable est celui qui permet à chacun de contribuer et de s’exprimer.
• Trop souvent, les équipes travaillent en « sous régime » parce qu’on laisse de côté les ressources individuelles des équipiers.
• Le monde dans lequel nous évoluons est complexe et évolutif.

Considérons les nombreuses réunions de travail auxquelles on participe pour savoir comment résoudre un problème, faire un brainstorming, lancer un projet, bâtir une équipe, gérer une crise ou établir une nouvelle stratégie : quel que soit l’objectif de la réunion, ce sont les employés de l’organisation qui peuvent trouver des solutions car ils ont cette envie naturelle d’influencer et d’agir sur les choses qui leur sont importantes.

Il s’agit de suivre « la marche en avant » d’un aliment en s’assurant que les différentes règles de sécurité sanitaire sont définies et appliquées. Cet audit se base principalement sur les grilles d’inspection utilisées par les services départementaux de la protection des populations (anciennement appelé direction des services vétérinaires).

Appelé communément P.M.S, c’est un des documents essentiels, en matière d’hygiène et de sécurité alimentaire, exigible depuis 2006 avec la nouvelle réglementation connue sous le vocable « Paquet Hygiène » pour tous les établissements détenant, préparant et distribuant des denrées alimentaires.

Il consiste à décrire les mesures prises par l’établissement pour assurer l’hygiène et la sécurité sanitaire de ses productions vis à vis des dangers biologiques, physiques et chimiques.

Il comprend les éléments nécessaires à la mise en place des exigences suivantes (exemple : via des fiches techniques, des procédures), ainsi que les preuves de l’application de ces mêmes exigences (via des fiches de traçabilité) :

Pour illustration, le P.M.S comprend notamment les documents relatifs aux bonnes pratiques d’hygiène concernant :

• Le personnel
  – Plan de formation à la sécurité sanitaire des aliments.
  – Tenue vestimentaire : descriptif et entretien.
  – Organisation du suivi médical.
• L’organisation de la maintenance des locaux et des équipements et du matériel
• Les mesures d’hygiènes préconisées avant, pendant et après la production
• Plan de nettoyage et de désinfection adapté au site
• Instructions relatives à l’hygiène.
• Plan de lutte contre les nuisibles.
• L’approvisionnement en eau.
• La maîtrise des températures.
• Le contrôle à réception et à expédition.

Le Document unique regroupe l’évaluation des risques professionnels. C’est un document exigible depuis 2001, à réviser annuellement pour chaque entreprise, structure…comptant au moins 1 salarié. Il est d’autant plus important que l’employeur a une obligation de résultat en matière de sécurité de ses salariés. Sa responsabilité peut donc être engagée.

En cas d’accident du travail, ou en cas de contrôle de l’inspection du travail ou de la médecine du travail, le Document unique peut être demandé. Son absence peut entrainer des sanctions.

Ce document a pour objectif d’identifier et de classer par niveau de gravité les risques auxquels sont exposés les salariés, ceci en vue de mettre en place des actions de prévention. On doit donc y trouver, défini par type de poste de travail :

• L’identification des dangers, c’est-à-dire des causes capables de provoquer un dommage au salarié,
• L’évaluation des risques, autrement dit, en estimer la gravité et la probabilité d’apparition. Cela garantit, une fois le Document unique terminé, d’avoir une lisibilité en termes de priorité d’actions à mener, et de ne pas engager plein d’actions « tout azimut »,
• La détermination des mesures de prévention, existantes et à mettre en place (objectifs d’amélioration)